Le remboursement des séances de kinésithérapie avec DKV

Problèmes musculaires, maux chroniques, accidents domestiques, difficultés respiratoires, rééducation post-accouchement… À tout âge, nous pouvons être amenés à consulter un kinésithérapeute pour nous soulager des maux du quotidien devenus difficilement supportables ou pour prévenir d’éventuelles complications de santé futures. Dans quels cas faire appel à un kinésithérapeute ? Pour quels maux ? Tour d’horizon de ces questions avec DKV.
 

La kinésithérapie : de quoi s'agit-il ?

Le Conseil national de kinésithérapie définit le métier de kinésithérapeute comme un « expert de la fonction et du mouvement^[1] ». Sur prescription du médecin traitant, le kinésithérapeute reçoit le patient et établit un diagnostic. L’objectif de son traitement étant de soigner une pathologie, d’une part, mais aussi d’éviter l’apparition de troubles au niveau de la motricité et de garantir une guérison longue durée, selon les besoins de chacun^[2], d’autre part.

On distingue aujourd'hui plusieurs spécialités au sein de la kinésithérapie : kiné respiratoire, kiné spécialisée dans les soins gériatriques, kiné post-partum ou post-opératoire ou encore kiné sportive…  À tout âge de la vie, nous sommes donc susceptibles de faire appel à un kinésithérapeute pour nous venir en aide.
 

Le kiné : dans quels cas consulter ?

De la légère tendinite à une rééducation complète à la suite d'un accident, d'un accouchement ou d'une opération, vous pourrez faire appel à un spécialiste qui déterminera le nombre de séances dont vous avez besoin. Avant de consulter, pensez néanmoins à demander l’avis de votre médecin généraliste : contrairement à d’autres pratiques, la kinésithérapie est une pratique associée à la médecine conventionnelle et est uniquement accessible sur prescription de votre médecin traitant.

D’autant qu’il n’est pas toujours facile, pour le patient, de savoir s’il doit s’adresser à un kinésithérapeute ou à un ostéopathe. En effet, lorsque l’on souffre de maux de dos, par exemple, les deux approches peuvent être envisagées, elles sont même parfois complémentaires. Là où l’ostéopathe va traiter le mal grâce à des manipulations douces, le kinésithérapeute se concentrera sur un problème de motricité spécifique et travaillera sur la rééducation du patient à partir d’exercices ou au moyen matériel dédié. C’est notamment pour cette raison que plusieurs séances de kinésithérapie sont nécessaires, là où généralement, une séance d’ostéopathie ponctuelle sera suffisante.
 

Quel remboursement ?

Selon sa spécialité, un kiné vous demandera entre 20 et 40 € pour une séance^[3]. Ses honoraires sont déterminés selon les barèmes de l'INAMI, mais aussi son statut (conventionné ou non), la gravité de votre pathologie et son lieu de pratique (hôpital, cabinet, domicile, etc.).

Au niveau du remboursement, à nouveau, tout dépend de plusieurs facteurs : à commencer par la gravité de votre pathologie. En Belgique, nous avons droit à dix-huit séances de kiné par pathologie et par année civile, remboursées partiellement par la mutuelle. Mais pour certains cas plus lourds, ces séances peuvent monter à 60 sur l'année. Avec un remboursement tournant autour des 50% de votre facture. Mais dix-huit séances à 40€, même avec une intervention de 50%, peuvent vite coûter très cher. C'est pourquoi nous vous conseillons de vous tourner vers des assurances complémentaires.
 

La kinésithérapie, c'est moins cher avec DKV

Il existe différentes formules d’assurance soins de santé afin de vous soigner l’esprit léger :

Dans le cadre d'une hospitalisation

Votre assurance hospitalisation peut intervenir sur le montant de vos séances de kiné s’il y a une intervention de la mutuelle, si elles sont en lien avec les raisons de votre hospitalisation et réalisées pendant la période pré ou posthospitalisation définie dans votre contrat^[4].

Hors hospitalisation

Hors période d’hospitalisation, vous pouvez faire intervenir une de nos assurances soins ambulatoires DKV Daily. Ainsi vous bénéficiez d’une intervention supplémentaire sur vos frais médicaux quotidiens (consultations médicales, médicaments…) et vous êtes protégé 365 jours par an. Faites le point et analysez vos besoins en ligne en seulement quelques minutes. Pour plus d’infos, renseignez-vous auprès de DKV ou auprès de votre intermédiaire.
 

Pour toutes informations complémentaires concernant les caractéristiques et exclusions principales des produits DKV, vos droits et obligations, veuillez consulter les Conditions Générales, les Conditions Tarifaires et les Documents d’Information Produit (IPID) avant de souscrire. Ces documents sont disponibles auprès de votre intermédiaire d’assurances, sur www.dkv.be ou gratuitement auprès de DKV Belgium.

DKV Belgium S.A. | Rue de Loxum 25 | 1000 Bruxelles | www.dkv.be | Tél. : +32(0)2 287 64 11 | R.P.M. 0414858607, entreprise d’assurances de droit belge agréée sous le n°739, sous le contrôle de la Banque Nationale de Belgique, dont le siège est situé à 1000 Bruxelles, Bld de Berlaimont 14, fabricant des produits DKV : soins dentaires, frais ambulatoires, hospitalisation et perte de revenus. Ces produits sont soumis au droit belge (branche 2 ‘maladie’ et/ou branche 18 ‘assistance’). Offre via votre intermédiaire d’assurances et/ou via www.dkv.be. Contrat à vie, non résiliable par l’assureur, sauf exceptions prévues par la loi. Pour les plaintes relatives à la gestion ou à la mise en œuvre de ces produits, veuillez vous adresser au service Quality Control de DKV Belgium S.A. par courrier à l’adresse suivante : rue de Loxum 25, 1000 Bruxelles, par mail à Qualitycontrol@dkv.be ou via le formulaire disponible sur notre site internet www.dkv.be/fr/contact/une-plainte et, en 2ème ressort, à l’Ombudsman des Assurances par courrier à l’adresse suivante : square de Meeûs 35, 1000 Bruxelles, par mail à info@ombudsman-insurance.be ou par téléphone au +32 (0) 2 547 58 71. Ce document est un support commercial au sens de l’A.R. du 25 avril 2014 imposant certaines obligations en matière d’information lors de la commercialisation de produits financiers auprès des clients de détail.